Comme je me lasse de dire que ça va de mal en

Comme je  me lasse de dire que ça va de mal en pis, je préfère vous faire partager une lettre que j'envoie ce jour.
(Par charité chrétienne, j'ai effacé les coordonnées du destinataire):

" Monsieur le chef d’agence,

 Votre lettre du 16 mai faisant suite à la demande de (X) de règlement d’heures supplémentaires, établit que non seulement vous ne lui devez pas 10 heures, mais que c’est lui, (...)qui vous en doit 4, indûment payées.

 Il a beau m’expliquer qu’un contrat ne préjuge pas des heures effectuées, je lui rétorque que votre société, « Une force au service des l’homme et de l’Environnement », a fait preuve en l’occurrence d’une générosité qu’il faut récompenser comme elle le mérite.

 Je lui fais valoir que vous n’êtes pas, comme tant de vos collègues de la « propreté industrielle » un menteur, un voleur, un enfoiré.

 En conséquence, comme il est court financièrement (raison pour laquelle il a travaillé chez vous) veuillez me faire parvenir une facture, je tiens à rembourser moi-même ces heures indûment versées. La jeunesse a besoin d’exemple comme vous, employeurs honnêtes, et pas d’exploiteurs, je dirais presque d'enculés.

Veuillez agréer, monsieur, l’expression de ma plus haute considération."


Je vous tiens au courant s'il me répond...

Comments

[Marie]

"....je dirais presque d'enculés"
Si on écrit ça, on ne risque pas un procés en diffamation ?